Entrainement au grand air...

Quel bon matin, il est a peine six heure du matin, ça fait genre deux jours que je suis ici, et j'ai déjà trouver un endroit ayant l'air vide ou je peux m'entrainer, j'ai placé des cibles en cartons a deux cents mètre de moi et je tire avec mon neuf millimètre dessus afin de me spécifier dans mon art, mon ipod dansles oreilles, j'écoute de la musique assez stimulante, du bon vieux rock non commercial. Je tire, je tire, et je retire, j'atteinds toujours l'endroit fixé dans mon esprit. Biensure j'ulitises des balles de plomb, on ne sait jamais si il n'y pas quelqu'un près de moi.

Comme d'habitude, j'arrive pas à dormir. J'ai jamais été une grosse dormeuse ou une lève tard. A Paris, tu pouvais t'endormir le soir, et plus jamais te réveiller parce que pendant ton someille, t'as reçu une bombe sur la gueule. Là-bas, quand je dormais, c'était que d'un oeil et j'avais mon couteau dans la main, prête au moindre combat. Soudain, j'entends des bruits, des bruits de tir. Moi qui penserai être seule à cette heure là! Je me suis avancée pour mieux observer. Une fille s'entraine au tir sur des cibles en carton. L'I-Pod dans ses oreilles ne semble pas la gêner, au contraire. Je me suis postée derrière elle, voulant voir si elle me remarquerai ou pas.

Derrière moi je sens une présence, je ne me retourne pas, enfin pas tout de suite, je rengaines mon arme, et je fais un saut en arriere, ce qui me fait passé derrière la jeune demoiselle, je la fais pivoté.

Que me veux tu ?

Je reste calme même si ça me surprend qu'elle réagisse comme ça.
Rien, je passais là par hasard et je voulais voir comment tu tirais tout simplement. Désolée si je t'ai dérangée.

JE devisage la jeune fille, et j'enleve une oreillette de mon oreille.

Ok. Mets fait attention, vaut mieu venir sur le coté que derrière, ca pourrait être dangereux.

J'acquiese et je dégaine mon arme avant de recommencer a tirer.

Tu ne déranges pas, j'ai simplement faillis te tuer.

J'esquisse un sourire. Pas commode la fille! Mais j'en ai vu d'autres! Et puis elle a pas tord, c'était risqué de faire ce que j'avais fait. Un bon agent peut sentir une présence, même avec un I-Pod sur les oreilles. Soudain, je sens mes doigts qui me démangent, je sors le pistochoc qui est toujours accroché à ma ceinture. Ce n'est pas un simple pistochoc, c'est LE pistochoc. C'est celui-là qui a tué mon frère. Vous allez peut-être me croire bizarre de le garder mais ça me permet de ne pas oublier pourquoi je suis ici. Je déclnche le mode entrainement et je me tourne vers la fille.
Est ce que je peux?

» Entrainement[libre]